Développement personnel

L’enfer me ment

Temps de lecture : 12 minutes.

Depuis quelques mois, je communique avec mon inconscient au quotidien. Il n’est pas rare qu’à mon réveil des idées, ou des concepts intéressants m’apparaissent. Dernièrement, cette idée “L’enfer me ment”, m’est tombée dessus. Forte de mon lien avec mon inconscient je sais qu’il y a une clé d’évolution à intégrer, alors j’ai décidé de relever ce défi. À travers cet article, je vais tenter de clarifier et de rendre compréhensible cette notion d’enfer me ment. 

Défi relevé

Étrangement, à l’heure où j’écris ces lignes, je ne sais pas encore où tout cela va me mener. Mon inconscient m’a soumis cette idée, et m’a ensuite conduite à vouloir la développer. Je suis curieuse de voir où cela va me conduire, et je m’engage à être le plus structurée, claire et accessible possible.
Ainsi pour commencer, je vais expliciter ce que cette notion d’enfermement m’évoque. J’ai déjà en tête quelques exemples de vécus pour lesquels l’enfer me ment s’applique, et je vous en partagerai trois. L’idée sera d’analyser ensuite les raisons sous-jacentes qui motivent l’enfer me ment, ce qui nous permettra de percer à jour le mode de fonctionnement qui se trouve caché derrière. En fin d’article nous devrions être en possession d’une clé de compréhension sur les mécanismes liés à l’enfer me ment, ce sera la clé de gaie-rison. 

Précision : En tant qu’éveilleuse de conscience, je me sers de mes articles pour semer des graines de prise de conscience. Ne soyez donc pas étonnés si vous avez parfois l’impression que je m’égare un peu, c’est le temps de pousser une réflexion, après quoi j’en reviens toujours au sujet. 

C’est quoi l’enfer me ment?

Ce n’est pas parce que nous vivons l’enfer que nous sommes bloqués, mais parce que nous nous mentons sur la véracité de cet enfer, que nous restons enfermés. (Citation de Moi-même.) 

Quand je parle d’enfermement, je pense à toutes les situations, dans lesquelles on s’obstine au travers de nos propres mensonges. Si vous ne l’avez pas encore lu, je vous invite à lire l’article sur le langage des rêves. J’y aborde comment cette idée d’article m’est tombée dessus. J’y décris également une situation personnelle d’enfer me ment. Cela vous sera utile pour comprendre la suite 😉

Avant-propos

On pourrait croire qu’étant à ma place de thérapeute énergétique je suis exempte de problématiques personnelles, ou bien que je suis en possession d’une boite à outils qui me rend capable de tout régler en un clin d’oeil. J’avoue que cette boite à outil est par ailleurs bien fournie et que oui, je m’en sers régulièrement. Mais je reste une humaine avant-tout et à ce titre, je revendique mon droit à l’erreur ! Il m’arrive de me tromper, de m’obstiner, de m’entêter et de m’enfermer dans des situations merdiques, n’ayons pas peur des mots !
Peut-être est-ce parce que j’ai vécu des situations merdiques que je suis devenue thérapeute énergétique… Est-ce que le cordonnier est trop occupé pour bien se chausser? Ou bien est-ce le fait d’être mal chaussé qu’il l’a conduit à devenir cordonnier?
Sur cette jolie réflexion, partons à la découverte de ces 3 exemples d’enfer me ment.
(Il est possible que vous vous reconnaissiez dans ces situations, et dans ce cas, la clé de compréhension qui se cache derrière vous intéressera tout autant.) 

Comme je vous l’ai partagé dans mon article sur le langage des rêves, j’ai rencontré un jeune homme lorsque j’avais 19 ans. Il était propriétaire d’une longère – qui n’avait du nom que les quatre murs –  quand il m’a connu. Six mois plus tard, je me suis installée avec lui au milieu de ce chantier. La maison étant hors d’eau, hors d’air, il restait tout l’intérieur à faire, du sol aux plafonds. C’était habitable, en dépit de la précarité que cela impliquait : poussières, isolation thermique et sanitaires inexistants. Même si cette vie ne me convenait pas, et que je cherchais ma place, j’ai continué à vivre cette relation. Nous avions 20 ans, la vie devant nous, et nous nous aimions, c’était l’essentiel pour moi. Alors je me suis forcée, et j’ai fait fi de mes ressentis. Pourtant, une fois installés ensemble j’ai observé des dysfonctionnements dans notre couple : 

  • malgré les travaux à faire, mon compagnon passait son temps libre au bar ou avec ses potes, 
  • à la maison, il était presque ivre tous les soirs,
  • nos dettes s’élevaient à plus de 80 000 frs et cela n’avait pas l’air de le préoccuper.

Contre toutes attentes, j’ai épousé cet homme. L’année de notre mariage, nous avons tenté une immersion dans le sud de la France. L’aventure a duré 6 mois, notre premier enfant est né, et nous nous sommes séparés de la longère. De retour en Bretagne, après plusieurs déménagements et des difficultés financières, nous nous sommes installés en ville en HLM. Qu’importe où nous habitions, les dysfonctionnements de notre couple étaient toujours les mêmes, voire pires… Notre deuxième enfant est né. Quelques mois plus tard, j’ai demandé le divorce. Cette relation a duré 6 ans et demi. Cet enfer me ment a duré 6 ans. 

Je travaillais au service comptabilité, dans un groupe d’ameublement, suite à ma demande de mutation. Dans ce service, nous étions une trentaine, principalement des femmes, de 20 à 55  ans. J’étais heureuse de terminer à 17h, et d’avoir de vrais week-end. La première fiche de paie m’a vite fait déchanter. Pour réduire les frais, je déjeunais sur place, comme la plupart de mes collègues. J’ai été surprise de constater qu’elles continuaient de travailler sur leur temps de pause… Au bout de quelques semaines ma charge de travail a été telle, que j’en ai compris la raison. La compétition entre les filles était entretenue par l’équipe encadrante, au point que faire tout juste son travail était perçu comme médiocre. Beaucoup de filles étaient au bord du burn-out. Des problèmes de santé plus ou moins graves, plus ou moins répétitifs se manifestant chez celles qui se cramponnaient. La cheffe de service n’hésitant pas à humilier au milieu du service celles qui n’avançaient pas assez vite. La plupart des filles avec qui je discutais, avouaient en avoir marre, sans pour autant pouvoir faire autrement. Une collègue a abandonné son poste, parce qu’elle ne se sentait pas de se confronter aux cheffes. Au bout de 4 mois j’ai compris que le souci c’était l’environnement et non pas moi, alors j’ai décidé de chercher un autre emploi. 

Deux mois plus tard, je quittais l’entreprise sans aucun état d’âme. Dans mon sillage, 4 autres filles sont parties elles aussi. 

Quand ma mutation a été acceptée j’ai eu 2 mois pour déménager dans un nouveau logement. Mon dossier n’accrochait pas les propriétaires, j’ai essuyé quelques refus. Le sentiment d’urgence s’accentuait. Quand l’agence immobilière m’a proposé un appart qui ne correspondait pas à mes critères mais dont le propriétaire n’était pas regardant sur les conditions d’accès, j’ai accepté la visite. L’appartement ne m’emballait pas, et me posait même certains problèmes, mais au moins il était libre de suite. Je devais signer le bail une heure plus tard à l’agence. Une fois dans ma voiture, mon sentiment d’urgence était satisfait. Mais je restais quand même mitigée : il manquait une chambre, il n’y avait pas de double vitrage, et mon ressenti n’était pas fameux… Je trompais mon incertitude, et décidai d’aller voir où se situaient l’école des enfants. À présent animée par ce sentiment d’urgence d’anticiper pour la reprise des cours. Je repassais devant l’appartement : à cette heure de la journée la rue était bloquée par les bouchons. Je prenais une rue voisine, déserte. J’étais contente de moi, car plus maligne que les autres. C’est alors que l’avant de ma voiture s’est retrouvé embouti dans une voiture qui venait de ma droite. J’étais tellement occupée à fanfaronner sur ma petite victoire que je n’ai pas vu la priorité à droite… J’étais secouée. Et en colère. Après avoir rempli le constat amiable, et contacté mon assurance, je suis allée à l’agence immobilière comme convenu. J’étais déconfite, et encore plus mitigée sur ma décision de signer ce bail. C’était un signe très fort quand même ! Et face à cette dame, je ne savais quoi faire… Et puis j’ai pris la décision de signer. 2 ans et demi plus tard, je quittais cet appart sur un coup de tête. L’enfer me ment a duré 2 ans et demi. 

Analyse

À la lumière de ces 3 situations, il est interessant de voir qu’à chaque fois j’ai eu des signes plus ou moins forts pour me mettre en garde. Et pourtant, contre toute attente, j’ai persisté et signé dans chaque situation, ou presque. Suis-je jusqu’au-boutiste?
Biensûr avec le recul il est facile de me dire que c’était stupide de ma part, et que je me suis fait plus de mal que de bien. Néanmoins, ces expériences ont eu le mérite de m’apporter une richesse d’expérience que je n’aurais pu acquérir si je ne les avais vécues. L’idée n’est donc pas de réfuter le passé, mais d’y voir la compréhension cachée. En partageant cette clé, je fais pour autrui, ce que j’aurai aimé que l’on fasse pour moi : me permettre de faire des choix éclairés afin de pouvoir m’échapper avant qu’il ne soit trop tard.
Pour chaque analyse, j’ai fait en sorte de conserver un regard neutre et bienveillant, l’idée ici étant de me replonger dans l’énergie qui m’animait au moment des prises de décisions, afin d’identifier le processus sous-jacent qui motive ces choix plutôt que d’autres.  

Lorsque je suis honnête avec moi-même, et que je m’interroge sur les raisons qui m’ont poussée à épouser cet homme, en dépit du fait que je ne me sentais pas à ma place, je comprend que j’étais motivée par ma peur de ne pas me retrouver seule. J’ai choisi de rester auprès de cet homme, qui me conférait malgré tout un sentiment de sécurité. Je me suis engagée petit à petit, persuadée que les choses allaient changer, me convainquant à chaque nouveau pas, que je ne pouvais pas revenir en arrière. Je me suis auto-manipulée.
Je fais le lien avec la technique de manipulation consistant à faire prendre à un tiers des engagements de plus en plus importants, en commençant par demander un petit service. Ce biais manipulatoire s’appelle “le pied dans la porte”, aussi connu sous le nom du “Yes set” grand favori des vendeurs et autres commerciaux visant à vous faire dépenser plus que prévu… 

Cette situation est un peu differente, puisque c’est quelque chose que j’ai observé : les filles avec qui je bossais restaient à leur poste malgré les humiliations, les comportements contrôlants des cheffes, et la médiocrité de la paie. Comme je l’ai identifié lorsque j’étais sur ce poste, le problème ne venait pas des employées, mais de l’équipe encadrante, du volume de travail demandé ou des conditions de travail.
Comme vu à l’analyse du cas précédent, l’enfermement tient du fait que c’est la personne elle-même qui se convainc que son environnement ne peut être remis en question, alors elle se remet en cause. Ainsi ces employées se sont simplement auto-convaincues de se remettre en question, et maintenaient vainement leurs efforts au détriment de leur santé mentale et physique, au lieu d’envisager que le problème pouvait tout simplement venir de l’environnement de travail. En discutant avec ces filles, je me suis rendue compte que ce qui les poussaient à ne pas chercher autre chose, c’était la peur de ne pas trouver mieux, elles se convainquaient que ce n’était pas si mal en fin de compte, et préféraient la sécurité d’un emploi certes ingrat et envisagaient la recherche d’un nouvel emploi comme vaine et incertaine…

Quand j’y repense, je me demande encore ce qui m’a poussée à signer ce bail, malgré ce signe très fort… La seule réponse que je vois c’est que dans mon esprit la pensée que cette dame s’était donné du mal à rédiger ce bail et que je m’étais engagée à venir le signer, avait plus de valeur que le fait d’avoir reçu un signe de l’univers. L’accident au pied de l’immeuble, ne restait pour moi – à cette époque – que le fruit d’un hasard malencontreux. Et je ne pouvais pas me dédire là-dessus, ni même m’en servir comme justification. Je m’étais persuadée que je devais trouver un logement avant de prendre mon nouveau poste. Avec le recul je me rend compte que ma principale motivation c’était la peur de ne pas trouver une autre opportunité, et je voulais jouer la sécurité en prenant celui-là. 

Les signes

A travers ces differents exemples où vous vous serez peut-être reconnu, nous avons vu comment la vie, l’univers etc… cherche à nous dire que nous faisons fausse-route. Avant de poursuivre, laissez-moi vous décrire comment je me représente cela, je vais évidemment vous parler de réincarnation, j’espère que vous êtes à l’aise avec ce concept. Imaginez que vous ayez un enfant pour qui vous souhaitez le meilleur. En accord avec lui, vous décidez du meilleur chemin a suivre. Mais une fois sorti de la maison, votre enfant décide d’en faire à sa tête et de partir sur une autre route. Comme ce nouveau chemin n’était pas balisé pour lui, il va se retrouver confronté à des problèmes qu’il n’aurait pas rencontré s’il avait suivi le plan initialement prévu. Afin de ne pas l’influencer (notion de libre-arbitre), vous lui envoyez des signaux pour attirer son attention. Dans la vie, ce parent c’est celui que j’appelle “papa univers”. Et voici la liste graduelle, des signes que j’ai repérés quand il cherche à attirer mon attention parce que je suis en train de m’enfermer. 

  1. les difficultés matérielles : problèmes d’argent, perte de papiers, blocages de dossiers, conflits de voisinage, problèmes avec la fiscalité, avec l’autorité, problèmes liés à la matérialité en tout genre. 
  2. les accidents : de voiture, de la vie courante, blessures. On reste dans la matérialité, mais un cran au dessus, suite à l’accident on est touché dans sa matérialité et dans sa santé.
  3. les problèmes de santé, la maladie : est-il besoin de détailler? Quand ça fait mal en continu, le corps exprime ce que l’esprit ne veut pas voir. Il n’est pas rare de voir des douleurs chroniques disparaitre comme par enchantement dès lors que la personne a pris conscience de son enfer me ment…
  4. la mort…: vous n’avez pas écouté les signes. Papa univers vous a pourtant mis en garde. Retour à la maison pour faire le point et comprendre pourquoi vous avez persisté sur un chemin qui n’était pas celui prévu. 

Évidemment papa univers n’est pas un grand méchant empêcheur de tourner en rond. Il sait également envoyer des confirmations lorsqu’on se trouve sur le bon chemin. Dans un prochain article, je vous partagerais une liste des confirmations super cool qu’il m’est arrivé de recevoir 😉

Cet article étant un peu long, voici une image d’un adorable chat, pour vous garder éveillés 😉

Clés de compréhension

Après ces analyses, voyons les clés de compréhension : 

  • La peur nous pousse à agir rapidement, elle est porteuse du message “Danger”,
  • le message est interprété par le mental comme un besoin de sécurité,
  • le besoin de sécurité conduit à l’enfer me ment,
  • l’enfer me ment repose sur le mensonge personnel : je n’ai pas le choix !
  • nos choix se résument à soit nous adapter, soit attendre que la situation change.
  • ne pouvant s’adapter plus, l’attente d’un changement extérieur devient la seule voie possible,
  • l’attente nous prive de notre pouvoir personnel : l’environnement devient responsable de notre malheur, ou de notre bonheur, 
  • la situation d’enfer me ment peut perdurer tant que nous ne sommes pas honnête envers nous-mêmes…

Clé de guérison

“J’ai fait un pas immense le jour où j’ai compris que j’étais seul à entretenir mes souffrances.” Jacques Salomé. 

Souvent lors de mes soins, j’explique que la prise de conscience c’est 80% de la guérison. En identifiant qu’il y a un problème, et en prenant en compte le mode de fonctionnement qui nous pousse à agir, on peut se prémunir en premier lieu de l’enfer me ment. 

Si le mal est déjà fait, et que vous avez le sentiment de vivre un enfer me ment, pas de panique, il n’est pas trop tard, du moins tant que vous avez envie de reprendre votre vie en mains 😉
J’aurais tendance à croire que c’est votre cas, puisque vous vous trouvez sur ce site, en train de lire cet article 😀

Afin de vous aider à faire le point, je vous propose une série de questions, auxquelles il va être important de répondre en toute authenticité et par écrit, afin d’avoir une trace écrite de votre cheminement.

I. Prise de conscience : 

  • Est-ce que ma vie correspond à l’idée que j’en avais quand j’étais enfant? 
  • Est-ce que je me sens en forme et en joie dans tous les domaines de ma vie? 
  • Si non, dans quels domaines ne me sens-je pas en joie? 
  • Dans ce domaine, est-il possible de faire quelque chose pour faire évoluer les choses? 
  • Est-ce que cela dépend de moi, ou d’une autre personne? 
  • Si cela dépend de l’autre, en quoi le fait d’attendre va me permettre de reprendre ma vie en mains? 
  • Si cela dépend de moi, que se passerait-il si je décide de ne pas le faire? 
  • Est-ce que cela me fait peur? 
  • Quel est le véritable message que la peur cherche à me donner? 

 II. Reprise du pouvoir personnel : 

  • Dans cette situation qui a le pouvoir sur ma vie? 
  • Comment je me sens lorsque c’est l’autre qui est responsable de mon bonheur? 
  • Comment je me sens lorsque je me rend responsable de mon bonheur?
  • Quelles conclusions puis-je en tirer? 
  • Qu’est ce qui dépend de moi et que je puisse faire pour reprendre ma vie en mains? 

III.Passer à l’action : 

  • Comment je me sens lorsque je me range à l’avis de mon mental?
  • Comment je me sens lorsque j’écoute ma petite voix interne?
  • Quelles sont mes envies véritables?
  • Quelle est la plus petite action que je puisse mettre en place pour me relier à mes envies? 
  • Comment est-ce que je me sens lorsque j’envisage l’idée de mettre en oeuvre cette action?
  • Si je devais placer dans une balance d’un côté ma peur identifiée au point I. et de l’autre le sentiment ressenti à la question précédente, de quel côté mon coeur pencherait? 

Retrouvez la liste des questions à imprimer par ici : Questionnement intérieur pour sortir de l’enfer me ment

Conclusion

Nous arrivons au terme de cet article embarqué, qui m’a permis de comprendre bien des choses. Je souhaite que sa lecture vous apporte autant de réponses que son écriture m’en a apportées. Bien évidemment, cet article se veut une aide pour vous accompagner. Et il peut être difficile de faire ce travail tout seul. Aussi ne culpabilisez pas si ces questions ne vous évoquent rien, ou ne vous parlent pas. J’ai fait le choix de tenir un blog en plus de mon activité pour partager et divulguer le plus largement possible en plus de mes rendez-vous individuels des clés de bien-être. Je sais que parfois on a envie de mettre les mains dans le cambouis et de faire sa mécanique tout seul… Parfois savoir faire appel à un spécialiste qui peut vous accompagner est une bonne solution. Ma qualité de thérapeute fait de moi l’une de ces spécialistes. Je fais donc le vœu en terminant cet article qu’à défaut de vous avoir permis de sortir seul de l’enfer me ment, il vous ai permis d’en prendre conscience et de l’identifier. Nous l’avons vu plus haut, la prise de conscience c’est 80% de la guérison. À travers mon témoignage personnel, je fais également le vœu de vous livrer mon expérience, et peut-être, vous donner l’envie de pousser la porte de mon cabinet si le besoin s’en fait ressentir.
En attendant, je vous souhaite une belle gaie-rison, 

Soyez heureux, c’est contagieux 😉

Cet article vous a plu?
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